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Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Yachay-Amaru CACERES REMACHE. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. Merci d’avance.
Bonjour, j’ai participé à la recherche de votre enfant, cependant je suis vraiment dévasté et désolée des résultats. Je souhaites à votre fils d’avoir trouvé la paix, et qu’il ne soit plus en souffrance si cela était le cas, je pense à lui et je pense à vous la famille tout mon courage et toutes mes condoléances vont envers vous, toute ma bonne volonté et tout ce que vous avez besoin pour surmonter cette épreuve vous reviennent. J’espère de tout cœur que ça va aller je suis vraiment désolée. Je vous envois à lui comme à vous des milliers de bisous et une montagne de courage. Ont l’aime ont ne l’oublie pas. 💐💐❤️❤️
Sarah Berger- 26-09-25
Nous sommes profondément bouleversé par la disparition de votre fils Yachay-Amaru.Nous n'osons même pas imaginer la douleur que vous traversez en ce moment. Sachez que nos pensées les plus sincères vous accompagnent en ce moment difficile et que nous partageons de tout cœur votre peine. Puisse le souvenir de son sourire et de sa présence rester vivant dans vos cœurs et vous apporter un peu de réconfort. Nous vous adressons nos plus sincères condoléances et vous souhaitons beaucoup de courage et de force pour traverser cette épreuve. La famille le bouille Audrey Fabien et Ethan.
Audrey Le bouille- 26-09-25
Amaru a été élève au lycée dans ma classe pendant deux ans. Une classe exceptionnelle par sa composition éclectique et par sa bienveillance en actes au quotidien . Une classe d abimes qui s était retrouvés pour un bout de chemin et qui s était promis entraide et paix. C’était une petite famille dans laquelle Amaru avait trouvé toute sa place : il pouvait s’exprimer, et quand il ne souhaitait pas le faire, personne n’allait le forcer ou le titiller, il était libre d’être et on le considérait. Et j’ai eu la sensation qu’il s’y sentait bien.. au fil du temps, il s’est ouvert de plus en plus et je me souviens de ses interventions en classe, toujours pertinentes et sensibles. On sentait du vécu, on sentait une vieille âme chez cet enfant, presque adulte. Et on percevait une révolte aussi mais une révolte tranquille, qui dort. Il parlait souvent de son pays et de la vie qu il se souhaitait dans un pays où la culture et la langue lui auraient permis d être mieux… «Mieux »… on n’en a parlé plusieurs fois et je lui ai dit comprendre combien le sentiment de l exil peut être difficile au quotidien. Mais je lui disais que quand il serait adulte et qu’il aurait un travail, il trouverait davantage sa place dans cette société pas tendre… Mais je sentais qu’il y avait un manque et une difficulté culturelle à se sentir chez soi quand on a son cœur ailleurs. Et surtout il y avait une incompréhension : Amaru n’a pas décidé de vivre ailleurs, il l’a subi. Le déracinement est toujours traumatique mais je pense qu’il l’ est davantage quand on a un réel amour, un attachement viscéral pour l’endroit d’où l’on vient… et qu on a cette sensation d avoir été arraché de force à à sa terre sans explications valables: pour un enfant qui vit cela aucune explication n est valable et vraiment suffisante… et moi son enseignante je me souviens combien, il parlait de son pays et plus largement de l’Amérique latine avec passion à la classe, et à chaque fois il avait une lumière particulière dans les yeux. Un fils de la bas… Je souhaite que son âme et son cœur aient rejoins les paysages, cette langue et tous ces endroits qu’il aimait tant et où il se sentait chez lui, à la maison … Je me souviendrais toujours de cette fierté et de son visage lors de l obtention de son diplôme de baccalauréat. Il y a des élèves dont, on se souvient plus que d autres parcequ ils sont différents, plus incarnés, et qu ils ont un lumière différente. Je ne t’oublierai pas Amaru.
Sophie Simonelli- 27-09-25
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